Opéra Rinaldo, Haendel
Les 20 et 22 Novembre 2022
Dans la carrière de Haendel, Rinaldo est l’opéra qui lui ouvrit les portes de Londres. En 1711, fort d’un voyage en Italie qui l’a porté de succès en triomphes, le jeune Haendel gé de vingt-six ans choisit d’écrire pour la capitale anglaise un opera seria, qui est également le premier opéra "en italien" composé expressément pour une scène anglaise.
Encore tout pétri du style vénitien, Rinaldo conte l’histoire tumultueuse des amours guerriers et ensorcelés de Renaud et Armide en pleine époque des croisades. Trompettes et tambours, airs de folie et de furie, duos d’amour, désespoir et bravoure enflamment le plateau durant trois heures, avec un orchestre survolté et coloré : le triomphe de Rinaldo imposa Haendel à Londres pour le reste de sa carrière !
Avec
Avec
BERTRAND CUILLER
Né dans une famille de musiciens, Bertrand Cuiller a commencé le clavecin à 8 ans avec sa mère, puis à treize ans il a rencontré Pierre Hantaï, qui fut son mentor pendant plusieurs années. Il a ensuite étudié le clavecin au Conservatoire National Supérieur de Musique de Paris auprès de Christophe Rousset, et appris à jouer les cors baroque et moderne. En 1998, il remportait le troisième prix du concours international de clavecin de Bruges.
Après plusieurs années passées au sein d’orchestre comme les Arts Florissants, le Concert Spirituel et le Poème Harmonique, Bertrand a décidé de se concentrer exclusivement sur le clavecin et la musique de chambre puis il a créé le Caravansérail.
Au clavecin, il apprécie particulièrement les compositeurs anglais William Byrd et John Bull, qu’il a enregistrés pour Alpha et Mirare. Il a également gravé pour ces labels des concerti de Johann Sebastian Bach, l’intégrale de l’œuvre pour clavecin de Jean-Philippe Rameau (2015, Choc Classica de l’année) ainsi qu’un album Scarlatti-Soler. Tous ses albums ont reçu un accueil très chaleureux du public comme des critiques.
Il participe en 2018 au projet Scarlatti 555 organisé par France Musique en interprétant et enregistrant avec 30 clavecinistes l’intégrale des 555 sonates de Domenico Scarlatti.
Depuis 2004, il suit également Bruno Cocset dans les projets des Basses Réunies.
En tant que chef d’orchestre, Bertrand Cuiller a notamment dirigé Vénus & Adonis de John Blow (coproduction Angers Nantes Opéra, Thétre de Caen, Thétre de la Ville de Luxembourg, Opéra Comique, Opéra de Lille, MC2 Grenoble et CMBV), un programme Rameau, Opéra sans Parole, les concerti pour clavecin de Carl Philipp Emanuel Bach, les concertos brandebourgeois de Johann Sebastian Bach et Rinaldo de Georg Friedric Handel, mis en scène par Claire Dancoisne.
Il enregistre actuellement l’intégrale de l’œuvre pour clavecin de François Couperin chez harmonia mundi - PIAS. Le premier opus sorti en 2018 est Choc de l’année Classica et a reçu 4F de Télérama. Le deuxième opus sorti en juillet 2020 a été récompensé d’un Diapason d’Or et de 5 étoiles par Classica.
. . .
Stephan Dudermel
Stéphan Dudermel commence l’étude du violon classique au Conservatoire de Lille puis au Conservatoire du XVIIème arrondissement de Paris, et entre à l’ge de 17 ans au Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon dans la classe de Peter Csaba. Il y obtient son diplôme en 1996 avec la mention très bien à l'unanimité du jury. Après un perfectionnement en musique de chambre et plusieurs récompenses à des concours internationaux en formation trio avec piano, il intègre en 1996 la classe de violon baroque d’Odile Edouard dans ce même conservatoire et en sort avec une mention très bien. Il approfondit également ses connaissances du répertoire baroque auprès d’Enrico Gatti, Chiara Banchini puis Sigiswald Kuijken à l’Académie Chigiana de Sienne.
Depuis de nombreuses années, Stéphan Dudermel joue au sein de plusieurs ensembles spécialisés, aussi bien en petit effectif qu’en orchestre : Le Concert Spirituel (direction Hervé Niquet), La Simphonie du Marais (Hugo Reyne), Akademia (F. Lasserre), l’Ensemble baroque du Léman, Le Cercle de l’harmonie (J. Rohrer) ainsi qu’en musique de chambre avec La Rêveuse (Benjamin Perrot & Florence Bolton), l’ensemble La Révérence (dirigé par Christophe Coin), Il Seminario Musicale (Gérard Lesne), l’ensemble Pierre Robert (Frédéric Désenclos), l’ensemble Unisoni, The New London Consort (Ph. Pickett), Patrick Ayrton...
Il participe également à de nombreuses productions lyriques et thétrales : King Arthur de H. Purcell (Le Concert Spirituel, mise en scène Gilles et Corinne Benizio, Opéra de Montpellier), un rôle scénique dans Orphée aux Enfers d’Offenbach (Compagnie Pleine Lune Pleine Voix à Saint Etienne), Le Bourgeois Gentilhomme avec La Rêveuse (mis en scène par Catherine Hiégel) ainsi que dans la mise en scène de Denis Podalydès avec Christophe Coin, et plus récemment dans Tancrède d’André Campra (mis en scène par Vincent Tavernier et sous la direction d’Olivier Schneebeli) avec les Chantres du Centre de Musique baroque de Versailles et l’Orchestre des Temps Présents à l’Opéra d’Avignon et l’Opéra royal de Versailles.
Il a également enregistré plusieurs disques salués par la critique parmi lesquels des sonates pour violon d’Elisabeth Jacquet de la Guerre avec la Rêveuse chez Mirare, et des grands motets d’Henry Dumont pour la chapelle de Louis XIV au Louvre avec l’ensemble Pierre Robert chez Alpha.
. . .
PAUL FIGUIER
Contre Ténor né en 1992, Paul Figuier commence l'étude du chant au sein de la maîtrise
de Nîmes. Il rejoint le Centre de Musique Baroque de Nîmes après son baccalauréat et
étudie sous la direction d' O. Schneebeli. Il a la chance de travailler avec des chefs tels
que C. Rousser, H. Niquet où encore J. Rorher faisant alors la découverte du répertoire
baroque français. Son diplôme obtenu, il intègre la classe d’I. Poulenard au CRR de
Paris et profite de l’enseignement de profe sseurs tels que S. Fuget et J.Tubéry. Il
participe à de nombreuses productions ( il y incarne notamment Bertarido dans le
Rodelinda de Haendel en 2014 et Pisandro dans Le Retour d'Ulysse de Claudio
Monteverdi en 2015).
En 2016, il est admis au CNSM dans l a classe de chant d'Alain Buet puis d'Yves Sotin,
se produisant sous la direction de M. Suzuki, L. Equilbey, P. Agnew, Alain Altinoglu
Il y assume en 2018 le rôle de Ptolemeo dans Jules Cesar de Haendel sous la direction
de Philip Von Stanaecker et d' Aret e dans Giove in Argo d' Antonio Lotti dirigé par
Leonardo García Alarcón. En 2019, il enregistre les solis d'alto du Cantique des trois
enfants dans la fournaise de P. Hersant avec le Centre de Musique Baroque de
Versailles et la Maîtrise de Radio France.
Le jeune contre ténor se produit entre autres avec des ensembles de renoms comme les
Surprises ( il interprétera en mars 2020 les parties d'alto de la Passion selon St Jean de
J.S Bach au Thétre des Champs Élysées), l'Atelier lyrique de Tourcoing ( avec qui il se
produit dans un programme Stabat Mater Scarlatti/ Pergolèse au Thétre des Champs
Élysées en compagnie de Maïlis de Villoutreys en 2019), l’ensemble Amaryllis et le
Banquet Céleste ( il interprétera en juillet 2020 le rôle de San Giovanni Battist a dans
l'Oratorio du même nom de Stradella à Saintes et à Noirlac). Il assume également en
2019 les parties chantées du musicien dans La Nuit des Rois de Shakespeare mise en
scène par Thomas Ostermeier à l'affiche à la Comédie Française. En avril 2019, il fait
ces débuts à l’Opéra avec l' Erismena de F. Cavalli avec la Capella Mediterranea de
Leonardo García Alarcón mais aussi à l’Opéra de Lausanne ou il interprète le rôle
d' Oreste dans La Belle Hélène d 'Offenbach dans une production Dumoussaud/Fau (il
retrouvera en 2020 l’Opéra de Lausanne pour chanter le rôle du Mago Cristiano dans
Rinaldo de Haendel)
. . .
Blandine de Sansal
Blandine de SANSAL commence son apprentissage de la musique en intégrant enfant la Maîtrise de la Légion d’Honneur. En 2010, elle entre à l’Ecole Normale Alfred Cortot dans la classe de Mireille Alcantara, tout en complétant cette formation par une Licence de Musicologie à la Sorbonne.
Elle se distingue au cours de différentes compétitions, notamment au Concours International Léopold Bellan, où elle remporte un Premier Prix, puis au concours Lied et Mélodie des Saisons de la Voix où lui est décerné le Prix de la Ville de Gordes. Elle est lauréate du Diplôme Supérieur de Concertiste de l'Ecole Normale de Musique de Paris en avril 2017. En septembre 2022, elle remporte le Premier Prix du Concours International de Chant Baroque de Froville, ainsi que le Prix du Public.
Elle chante en tant que soliste sous la direction de Sébastien Daucé (Ensemble Correspondances), de Damien Guillon (Le Banquet Céleste) de Jérôme Corréas (Les Paladins), de Stéphane Fuget (Les Epopées), de Paul Agnew (Les Arts Florissants) et de Jean-Christophe Spinosi (Ensemble Matheus). Elle chante également au sein de talentueux ensembles tels que l'Ensemble Pygmalion (Raphaël Pichon), L’Ensemble Marguerite Louise (Gaétan Jarry) et l’Ensemble Zene (Bruno Kele-Baujard).
Elle nourrit son goût pour la musique sacrée et chante comme soliste les Passions, Cantates et Magnificat de Bach (au Festival de Rocamadour en août 2020) Requiem de Duruflé, de Lotti, de Mozart, Stabat Mater de Dvorak et Pergolèse, Le Messie, Saül de Haendel, Magnificat, Stabat Mater, Nisi Dominus et Gloria de Vivaldi, Oratorio de Noël de Saint-Saëns). Elle aime également se produire dans un répertoire de lieder et mélodies lors de récitals (dans le cadre des festivals «Autour du piano », « Les Musicales du Luberon », « Les Solistes de Demain »).
Sur scène, elle incarne Barberine dans Les Noces de Figaro (Mozart), Fragoletto dans Les Brigands (Offenbach), le rôle-titre de La Vestale (Dominique Spagnolo) créé à l’Opéra de Massy en juin 2017, ainsi que Lisbé (Zémire et Azor de Grétry mis en scène par Mireille Larroche) sous la direction de Jérôme Corréas. Elle chante en tant qu’alto solo La Petite Messe Solennelle de Rossini dans une version mise en scène par Jos Houben et Emily Wilson, spectacle créé en Décembre 2019 à l’Opéra de Rennes. Elle tient ensuite le rôle d’Argene dans L’Olimpiade d’Antonio Vivaldi sous la direction de Jean-Christophe Spinosi, en version de concert. Elle prend également part en tant que soliste à la récente création scénique de l’Ensemble Correspondances au Festival d’Aix-en-Provence : « Combattimento, La Théorie du Cygne Noir », mis en scène par Silvia Costa en juillet 2021. Elle chante ensuite le rôle de Goffredo à l’Opéra de Rennes dans le Rinaldo de Haendel sous la direction de Damien Guillon (mise en scène de Claire Dancoisne), et reprendra le rôle de Nature dans Cupid and Death, dirigé par Sébastien Daucé.
Photo : Benoît Lombard
. . .
Aurore Bucher
La soprano Aurore Bucher circule librement à travers les genres musicaux. Du chant grégorien aux créations contemporaines en passant par l’opéra et l’improvisation, elle chante en soliste sous la direction de chefs tels que JC. Malgoire, H. Niquet ou E. Haïm et de metteurs en scène comme R. Wilson ou C. Marthaler. Dotée de nombreuses récompenses (prix de piano au conservatoire de Strasbourg, Prix de mélodie française à l’Académie Ravel, Premier Prix de chant au concours international des Symphonies d'Automne de Mcon), elle a enregistré différents disques avec la Fenice, le Poème Harmonique ou la Chapelle Rhénane. Elle incarne Micaëla ou Belinda, Athalia ou Susanna, se produit à Pleyel ou au Thétre des Champs-Elysées mais son énergie et sa curiosité la poussent souvent loin des cadres traditionnels du concert classique.
Ce qui lui importe c'est de raconter des histoires en musique et d’aller à la rencontre d’un public nouveau : avec l’Ensemble Justiniana, elle amène l'opéra dans les prairies de Franche-Comté ; avec Opéra Apéro elle se produit dans des hôpitaux, des centres d'hébergement d’urgence et des prisons. A ses yeux, la musique appartient d’abord à ceux qui l’écoutent et c’est dans cette perspective qu’elle fonde l’ensemble Virévolte en 2013, avec lequel elle enchaîne sans transition airs d’opéra et chansons pop et se produit dans de nombreux festivals en France et à l’étranger.
En 2018, la Co(opéra)tive lui propose le rôle d’Armida dans Rinaldo de Haendel dirigé par Bertrand Cuiller. Forte de son expérience scénique et dans la ligne de son engagement auprès des publics scolaires ou empêchés, elle crée pour l’occasion, avec le comédien et violoncelliste Vladislav Galard une petite forme autour de Rinaldo. « Rinaldo, laisse-moi pleurer » sera joué 22 fois à l’automne 2017 devant des centaines spectateurs de tous ges et de tous horizons.
. . .
MAïLYS DE VILLOUTREYS
Après quelques années de violon, Maïlys de Villoutreys intègre à 9 ans la Maîtrise de Bretagne (dir. J.-M. Noël). Tout en poursuivant des études d’Italien à l’Université, elle est élève au CNR de Rennes, puis au CNSM de Paris, où elle obtient brillamment son Master en 2011.
Très vite, son goût prononcé pour le répertoire baroque l’amène à se produire avec de nombreux ensembles : elle se produit régulièrement avec les Folies Françoises (P Cohen-Akenine), Pygmalion (R. Pichon), les Musiciens du Louvre (M. Minkowski), Amarillis (H. Gaillard), La Rêveuse (F. Bolton et B. Perrot), Le Caravansérail (B Cuiller)...
A l’Opéra, on a pu l’entendre dans Mozart (Barberina, Pamina, La Reine de la Nuit, Melia), Gluck
et Rameau (avec l’Atelier Lyrique de Tourcoing). Plus récemment, elle a participé à la création de
deux opéras de Gérard Pesson (La Double Coquette, opéra baroque et contemporain), et Trois
Contes, à l’Opéra de Lille (La Princesse).
Sa discographie inclut plusieurs enregistrements salués par la critique dont Les Arts Florissans de Charpentier avec Marguerite Louise (La Musique, label CVS) et Maddalena ai piedi di Cristo de Caldara par le Banquet Céleste (Marta, label Alpha Classics).
. . .
Timothée Varon
Timothée VARON - Baryton
Originaire de Bretagne, Timothée Varon a obtenu une licence de Lettres Modernes avant d'intégrer le Conservatoire National Supérieur de Musique de Lyon où il a suivi les enseignements de Françoise Pollet et Mireille Delunsch. Il est lauréat du Concours d’Arles et « Prix Révélation » au Concours Raymond Duffaut - Jeunes Espoirs en 2018, année durant laquelle il est nommé Révélation Classique de l'ADAMI.
Il est issu de l’Académie de l’Opéra national de Paris.
Dans ce cadre, il chante notamment le rôle de Eisenstein dans Die Fledermaus (MC93 de Bobigny puis en tournée en France), L’Horloge et Le Chat dans L’Enfant et les Sortilèges (Palais Garnier), Enée dans Didon et Enée (La Grange au Lac sous la direction de Leonardo García Alarcón), Tarquinius dans Le Viol de Lucrèce (Thétre des Bouffes du Nord) ainsi que de nombreux récitals (mélodies françaises avec orchestre, extraits d’opéras).
En dehors de l’Académie de l’Opéra de Paris, il chante Belcore dans L’Elixir d’Amour, Moralès dans Carmen ou encore le rôle-titre de Don Giovanni à l’Abbaye de Royaumont mis en scène par Patrice Caurier et Moshé Leiser. Il chante Papageno dans La Flûte Enchantée au Festival « Opera pa Skæret » en Suède, Lancelot dans Les Chevaliers de la Table Ronde de Hervé à Avignon et Guglielmo dans Cosí fan tutte à Dijon, D'Obigny dans La Traviata à Saint-Etienne.
Il se produit en récital à l’Opéra de Rennes dans les Scottish Songs de Beethoven et en concert dans le Requiem Allemand de Brahms, ainsi que dans un programme de mélodies françaises à l’Opéra de Lyon. Il chante les Carmina Burana de Carl Orff, La 9e Symphonie de Beethoven avec l'Orchestre national des Pays de la Loire lors des Folles Journées de Nantes, La Petite Messe Solennelle avec l'Orchestre Symphonique de Paris, le Requiem de Mozart à Versailles. Il participe au concert inaugural de Gustavo Dudamel à l'Opéra national de Paris où il chante des extraits de Falstaff.
Lors de la saison 2022-2023, il chante Alessio dans La Sonnambula à l'Opéra de Nice, Argante dans Rinaldo à l'Opéra d'Avignon, Artemidore et La Haine dans Armide de Lully à Dijon et Versailles, Le Geôlier dans Dialogues des Carmélites à Bordeaux où il chantera égalemet Porgy dans Porgy and Bess en version concert avec piano.
. . .
Rita Tchenko
Rita a travaillé comme comédienne avec des metteurs en scène tels que : Andrzej Seweryn (Comédie Française), Jerôme Savary, Wladyslaw Znorko, Régis Hébette, Mustapha Aouar, Julia Pascal, Mohamed Guellati, et très particulièrement avec L’Illustre Famille Burattini où elle fut co-directrice, comédienne, auteure, et conductrice de camion.. Elle travaille actuellement avec le Thétre de l’Unité.
La Compagnie Bouche à Bouche
. . .
Marion Zaboitzeff
Formée au conservatoire de Roubaix et diplômée en 2008, Marion travaille avec Isabelle Janier,
Cie L’Encre, avec la Cie Les PaKerettes sur le spectacle Mon chant d’extase mêlant le thétre et
la danse. Elle collabore avec l’association Signes de sens (Français-LSF) pour deux spectacles
bilingues 1,2,3 couleurs et Rue des gamins.En 2014 elle intègre le Thétre La Licorne pour la
reprise des Encombrants font leur cirque en tant que comédienne- marionnetiste, puis pour
Bestioles de légendes (thétre masqué).
En 2016 elle crée avec Henri Botte la compagnie Lolium et monte Moment d’angoisse chez les
riches sur des textes de Kurt Tucholsky (thétre et musique).
En Janvier 2020 ils créent Louise a le choix de Caroline Stella (spectacle jeune public).
Elle participe en janvier 2020 à la saison 5 d’ Histoires en série avec Le Bateau Feu, scène
nationale de Dunkerque.
Elle mène en parallèle depuis 2007 de nombreux ateliers thétre pour divers publics (options
thétre au Phénix, MJC de Saint-Saulve, EPNAK etc.)
. . .